Bérangère Claire

Bérangère Claire est une jeune créatrice qui a lancé sa marque éponyme il y a trois ans. Chaque saison, ses collections proposent des basiques et classiques aux détails raffinés pour le vestiaire féminin et masculin. « Une seule démarche, proposer à tous des vêtements faciles à porter, pour le quotidien, plus qu’une mode mais un style, simple et chic à des prix abordables ». Alors si vous croisez une collection avec des pièces de qualité, classiques et branchées, du carreau, une tête de cerf et une croix lorraine, pas de doute, c’est du Bérangère Claire ! Rencontre avec la créatrice de la marque, pour en savoir plus sur son travail…

Vous avez crée votre marque en 2007. Quel est votre parcours auparavant ?

Des études de stylisme et un peu d’expériences dans divers entreprises avant de lancer la mienne.

La mode vous a-t-elle toujours passionné ?

Ce n’est pas vraiment la mode ni les tendances qui me passionnent, mais oui, j’ai toujours aimé les beaux vêtements.

Comment définiriez-vous le concept de votre marque ?

Il n’y a pas de concept particulier. Bérangère Claire aspire à habiller les femmes et les hommes aux envies de simplicité, dans le sens sobriété, sans tomber dans le banal. Nous souhaitons faire des vêtements qui durent dans le temps, avec un style intemporel et une fabrication de qualité.

Le signe distinctif de votre marque est une tête de cerf, ainsi que la croix lorraine. Pouvez-vous nous expliquer comment vous est venue cette idée ?

L’idée était d’avoir un blason de famille. J’ai donc crée le mien en fonction de mes envies et mes origines.

Quelles sont vos inspirations ?

Elles sont différentes d’un collection à l’autre. Pour l’été prochain (2011) par exemple, je me suis inspirée de mon voyage en Floride.

Vos produits sont fabriqués en France et en édition limitée. Allez-vous garder ces principes sur le long terme ?

Pour l’instant, je n’ai pas l’intention de délocaliser ma production. Je suis entièrement satisfaite par la fabrication française pour beaucoup de raison, et ça ne devrait donc pas changer. Pour les séries limitées, cela dépendra de l’évolution de la marque. Ceci dit, même lorsque l’on fabrique 500 exemplaires par modèle ça reste encore de la série limitée. Pour info, aujourd’hui nous fabriquons en moyenne 50 à 100 pièces par modèle.

Pour ma part, j’ai découvert votre marque par hasard, dans une jolie boutique à Lille. Et depuis, je n’arrête pas d’en entendre parler dans les magazines (Grazia, Envy, L’Express Styles, Madame Figaro…) et sur Internet. Comment expliquez-vous ce succès ?

Nous faisons partie des quelques jeunes marques « chouchou » en presse. Mais au delà de ça, nous avons également un bureau de presse qui travaille très bien !

Votre marque est implantée également à l’étranger (Espagne, Japon, Canada…). Comment s’est fait cette conquête de l’International ?

Pour l’instant, nous n’avons que quelques points de vente à l’étranger, il ne s’agit par encore d’une conquête ! Les boutiques avec lesquelles nous travaillons ont été rencontrées sur des salons pro ou parfois nous les avons contactées par email.

Enfin, quels sont vos projets pour la suite ?

En faire toujours un peu plus. Plus de modèles, plus de points de vente, plus de presse…

Informations

Articles similaires

Nelly Furtado

Un mail, une proposition, une réponse positive dans la seconde. Le rendez-vous était pris à l'Hôtel de Sers pour interviewer Nelly Furtado ! En effet, comment refuser une rencontre avec l'interprète du célèbre tube planétaire “I'm like a bird”, que l'on a écouté en boucle, tout comme les opus suivants aux sonorités plus R&B mais tout autant réussis !

Lire

Clément Sibony

Alors qu’il suit les cours de Blanche Salant et Paul Weaver, Michel Spinosa lui propose son premier rôle au cinéma dans « Emmène-moi » en 1995. En 1998, c’est Olivier Dahan qui lui offre un rôle important dans « Déjà mort ». Il enchaîne avec « Un dérangement considérable » de Bernard Stora, et « Promenons-nous dans les bois » de Lionel Delplanque, aux côtés de Clotilde Courau et Vincent Lecoeur. Doté d’un charisme évident, il se fait remarquer et poursuit les tournages… « L’envol » de Steve Suissa avec Isabelle Carré, « A la folie… pas du tout » de Laetitia Colombani auprès d’Audrey Tautou, « Osmose » de Raphaël Fejtö aux côtés de Romain Duris. A sa carrière de séducteur, il privilégiera pour un temps les comédies d’auteur indépendantes… Après avoir joué les réalisateurs en herbe dans le très enjoué « Ze film » de Guy Jacques, il partage l’affiche avec Emmanuelle Béart et Charles Berling dans « Un fil à la patte » de Michel Deville. Sous la direction de Charles Belmont, il tourne pour la comédie de mœurs « Qui de nous deux », puis apparaît dans « Avril » de Gérald Hustache-Mathieu. S’ensuivront « L’Etrangère » de Florence Colombani, « L’âge d’homme » de Raphaël Fejtö et « Voir la mer » de Patrice Leconte.

Lire

Superbus

Après plus de dix ans de carrière, Superbus nous revient pour cette rentrée 2012 avec un nouvel album, intitulé « Sunset ». Des sonorités pop-rock aux influences américaines variées, ce nouvel opus devrait sans aucun doute combler les fans du groupe et séduire les petits nouveaux. En promo dans les locaux de leur maison de disque Polydor-Universal, nous sommes partis à la rencontre de Jennifer et de ses quatre acolytes.

Lire